Penalty oublié lors de Reims
John Textor, propriétaire de l’OL et patron d’Eagle Football (Photo de Jhony Pinho/AGIF/AGIF via AFP)
Après le match nul contre Reims (1-1), l’OL n’a pas manqué de mettre en avant deux décisions litigieuses de Stéphanie Frappart. Même de l’autre côté de l’Atlantique, John Textor s’est indigné de l’absence de penalty sifflé contre Malick Fofana.
À une époque, le running gag « Penalty pour Lyon » avait fini par envahir les réseaux sociaux à chaque sortie duOL et la réputation d’Alexandre Lacazette entre partisans adverses s’est parfois limitée à tort à cet exercice. Depuis le début de la saison, ce serait plutôt « pas de penalty pour Lyon » avec plusieurs actions contentieuses qui n’ont pas tourné en faveur de l’équipe lyonnaise. Dernier exemple en date samedi soir près de Reims. Après une première période de haut vol, les joueurs de Pierre Sage ont été rattrapés par leur manque d’envie au retour des vestiaires.
Mais en plus de leurs occasions manquées, ils auraient pu espérer revenir devant si Stéphanie Frappart avait choisi de siffler un penalty. Comme l’a dit Daniel Congre après le match nul (1-1), les dirigeants lyonnais avaient deux actions litigieuses en ligne de mire. Une première avec Malick Fofana qui s’est effondré dans la surface après la 70e minute de jeu. Puis une seconde sur Alexandre Lacazette.
Une réaction trop chaude ?
Ce dernier n’a pas forcément voulu polémiquer après la rencontre, laissant à ses dirigeants et à la presse le soin de rapporter ou non les faits. Pour Jean Texteuril est clair que l’arbitre central et le VAR ont pris la mauvaise décision sur l’action réalisée par Fofana. Comme il le fait habituellement avec Botafogole propriétaire américain a utilisé ses réseaux sociaux pour démontrer par A+B, image fixe à l’appui, qu’il y avait bien une faute sur son protégé belge. « À : contact (cercle rouge) à l’arrière de la jambe gauche du joueur lyonnais en rouge avec force de poussée (flèche rouge) et rupture de trajectoire de course. Penalty valable non sifflé. » Une réaction trop chaude ? Dans tous les cas, Texteur a rapidement supprimé sa publication, mais avec les réseaux, il est vite trop tard.