Kelly Reilly, 33 ans, était une femme joyeuse et sociable. Elle adorait passer du temps à la maison avec son chien, Mendoza, un bouledogue américain qu’elle avait adopté en 2022. Pourtant, le 22 juillet, la trentenaire sera victime d’un véritable drame, comme le rapporte Le miroir. Selon les informations publiées par les enquêteurs, Kelly ne se sentait pas bien ce jour-là. La jeune femme est alors tombée près de son chien qui l’aurait mortellement attaqué.
Entendus lors de l’enquête, les proches de Kelly ont souligné qu’elle adorait son chien et queelle l’a presque traité comme un membre de sa famille. Sa sœur, Kirsty Reilly, a également affirmé que l’animal n’avait jamais montré de signes d’agressivité. « Elle l’aimait comme un bébé« , a-t-elle déclaré, précisant que si Kelly ne l’avait pas adopté, elle l’aurait elle-même adopté.
Une crise d’épilepsie provoquant l’inconfort
Lors de l’audience, le médecin légiste Delroy Henry a précisé que Kelly a souffert de crises d’épilepsie qui pourrait arriver sans prévenir. Selon les médecins, ces convulsions pourraient lui faire perdre connaissance. L’une des hypothèses évoquées serait que la jeune femme aurait été victime deune crise d’épilepsie qui l’a fait tomber près de son chienqui l’a donc attaqué et tué.
Le Dr Hesham El-Daly, le médecin qui a pratiqué l’autopsie de Kelly, a confirmé que la victime avait des marques de morsure à la gorge. Parmi les marques présentes, le médecin a souligné une blessure importante. Il a souligné que
l’attaque du chien a sans aucun doute été causée par la perte de contrôle de Kellyelle-même causée par sa crise d’épilepsie.
Une mort accidentelle
Si le pathologiste n’a pas exclu la possibilité que l’animal ait agi de manière inhabituelle, Il a précisé qu’il s’agissait de pure spéculation. Cependant, le fait que Kelly n’ait montré aucun signe de défense suggère que l’attaque a été extrêmement rapide. Alors le chien a-t-il été surpris par la crise de sa maîtresse et, par peur, l’a attaquée ? Impossible de répondre à la question.
Le médecin légiste a en outre conclu que La mort de Kelly était un accident multifactoriel. Selon lui, la crise d’épilepsie a provoqué la chute de Kelly et l’attaque du chien a eu lieu alors que la jeune femme était incapable de se défendre.
