« C’est une catastrophe pour la ville. 107 personnes avec un salaire moyen de 1 500 euros, ça fait 150 000 euros par mois, 2 millions par an qui ne seront plus potentiellement dépensés localement. Tous commerçants confondus», analyse Adrien Herluison, le patron du centre commercial Leclerc.
Un désastre humain aussi. Adrien Herluison ne l’évite pas lorsqu’il parle de couples qui se retrouveront au chômage « dans une ville où il n’y a pas de travail à la porte tous les matins ».
Il rappelle que ce magasin est ancestral, « c’est le premier hypermarché du coin à avoir ouvert dans les années 70. C’était une institution et c’est certainement le meilleur emplacement commercial de…
