Pourquoi le piratage de l’opérateur français Free est une bombe à retardement
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La France subit à nouveau les horreurs de la piraterie massive. En février, plus de 33 millions d’habitants en France ont été touchés par une cyberattaque, en raison du ciblage par des pirates informatiques de Viamedis et Almerys, deux sociétés actives dans la santé. De nombreuses données personnelles ont alors été volées. Ces jours-ci, c’est un piratage aux conséquences potentielles plus dévastatrices qui secoue la France, celui de l’opérateur télécom Free.
Samedi, l’entreprise, qui compte 22,8 millions de clients, a reconnu avoir été la cible d’un pirate informatique. L’opérateur télécom s’est alors voulu rassurant, affirmant qu’« aucun mot de passe », « aucune carte bancaire », « aucun contenu des communications (e-mails, SMS, messages vocaux, etc.) » n’étaient concernés. Par ailleurs, « aucun impact opérationnel n’a été constaté sur (ses) activités et (ses) services ».
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