«Cette baisse est sévère, plus forte que l’an dernier à la même époque», commente Thomas Lefebvre, vice-président des données chez SeLoger et Meilleurs Agents, à l’origine du baromètre des prix de l’immobilier arrêté le 1er avril. On peut même parler d’une baisse car quand on compare avec les crises précédentes, on constate que les prix baissent plus annuellement qu’entre 1990 et 1997. Paris a vu ses prix chuter de 7,3% en un an au 1er avril. , contre 5 % en moyenne par an durant les sept années de cette crise. » En trois ans, les prix parisiens ont baissé de 12,3 %. « Nous n’avons jamais vécu cela », insiste l’expert.
