Le club de la capitale n’a pas tremblé pour exclure les passionnés de Saint-Brieuc ce mercredi, à Rennes, en quart de finale du coupé de France.
Pas de surprises désagréables pour le PSG. To-opposé au National 2 Club (4th Div.) De Saint-Brieuc mercredi, à Rennes, les joueurs de Luis Enrique ont remporté 7-0 et ont ainsi composé leur billet pour les demi-finales de la Coupe française. Trébuché pour Gonçalo Ramos. Neuvième victoire consécutive toutes compétitions et 21e match sans défaite pour les Parisiens, qui apparaissent sur la dernière place pour la neuvième année consécutive. Notez que Paris n’a plus été éliminé par une équipe de division inférieure dans « CDF » de Rodes (national), en 2009, 32 succès immédiatement dans ce contexte.
Les Bretons ont commencé sans crainte, jouant les coups à l’image de cela contre (15e). Avant cela, Ramos s’était déjà arrêté sur l’hôte (9e). Goutout a trouvé le bar. Le ballon est retourné à Neves, qui a transformé l’offrande (0-1, 16e). La serrure avait déjà sauté. Et près de la moitié du chemin a déjà fait pour les Parisiens, qui n’ont pas libéré leurs efforts, pas le genre de maison. La barre de Ruiz (23e), le bas des filets pour Ramos, bien servi par Mayulu et trop rapidement pour la briochine de l’arrière-garde (0-2, 36e). Paris en maîtrise, Saint-Brieuc asphyxié. Les 30 000 spectateurs du parc Roazhon pouvaient toujours s’enflammer sur le moindre tacle, la moindre boule qui approchait de Safonov. Mais les Parisiens dans leur main, à part Kvaratskhelia ne réussissaient pas dans ses dribbles et irritaient (0-2, MT).
À cette époque, le suspense était déjà largement attisé. Cependant. Soulignant que son équipe « n’a pas besoin d’avoir honte», Le capitaine de Breton James Le Marper voulait toujours le croire oiseau : « Ne pas avoir d’opportunités, nous avions des situations. Si nous parvenons à mieux les négocier en deuxième période, pourquoi pas? Nous devons mettre l’objectif de 2-1 et nous allons enflammer le stade. (…) Avant le match, nous avons pensé que nous ne devrions pas avoir plus de deux buts derrière la mi-temps. Nous sommes dans ce que nous avions prévu. Il reste 45 minutes. Nous le croirons jusqu’à la fin. Nous l’avons fait contre Nice, donc nous n’allons pas lâcher prise, ce groupe ne lâche pas». Mais face à ce PSG, la bonne volonté ne suffit pas.
Et ça se tourne vers la démonstration …
Wonder of Heel pour « Kvara », arrêté irrégulièrement par Kerbrat. Pénalité, transformée par Ramos (0-3, 49e). Notez que c’est Luis Enrique qui a dû siffler la fin de la récréation lorsque Goué a été initialement saisi du ballon. Mini « pénaltygate » tué dans l’œuf par l’entraîneur espagnol … le fait demeure que ce troisième but ressemblait au dernier clou dans le cercueil britannique.
Derrière, Gifted (0-4, 55th)-Brilliant dans le stade qui l’a vu commencer par les pros-, Ramos (0-5, 58th) et Mayulu (0-6, 66th) ont augmenté l’addition sur la pelouse d’un parc Roazhon où PSG reviendra le 8 mars. Courageux, les Bretons ont honoré leurs couleurs à la fin, bousculant sérieusement leurs prestigieux adversaires (81e, 82e, 83e). Lancé par Barcola, Dembélé Calmed The Brirochine Ardors (0-7, 85th). Insérit impitoyable (0-7 score final). Les demi-finales de la Coupe française seront le 1er ou 2 avril pour le PSG, contre Cannes (N2), Reims ou Dunkerque (L2). Saint-Brieuc pourra repenser longtemps à cette épopée, avec en particulier Nice (2-1), Annecy (1-1, 4-3 Tab) et Le Havre (1-0) sur le tableau de chasse. Chapeau.