« Data-script = » https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js « >
Invitée à Franceinfo, le secrétaire national des écologistes lui a confié les «regrets» quant au traitement de cette affaire par son parti.
Sa réaction était attendue, une semaine après la classification non suivante de la procédure de harcèlement moral et d’abus de faiblesse ciblant Julien Bayou. Invité sur Franceinfo, Marine Tondelier a refusé de reconnaître que l’ancien député de Paris était innocent. « Il n’est pas coupable »Elle vient de dire, avant de la condamner « Regrets ». « Que Julien Bayou ait souffert, je suis tout à fait conscient (…) Je suis sincèrement désolé »a déclaré le secrétaire national des écologistes, qui dit qu’il ne l’a pas fait « Dortoir » dortoir « dortoir » dortoir « quotidiennement pour les nuits » À cause de ce fichier.
« Je n’étais pas dans un rôle simple »
La conseillère municipale d’Hénin-Beaumont (PAS-de-Calais) est revenue au traitement de cette affaire, qu’elle a « hérité » En prenant la tête des écologistes en décembre 2022. Elle pense que contester une enquête à la cellule pour lutter contre la violence sexuelle et sexiste du parti « N’était pas adapté ». Un cabinet d’avocats indépendant était alors responsable de l’enquête sur Julien Bayou. « Certains ont découvert que nous en faisions trop, d’autres pas assez »Estem Marine Tondelier. « Il n’y a pas de bon moyen de faire (…) je n’étais pas dans un rôle simple »Elle a dit.
Lire aussi
« Elle donne des salaires aux rebelles »: comment Marine Tondelier essaie d’arrêter la perte de vitesse des écologistes
Pour le secrétaire national des écologistes, Julien Bayou « Payer un prix lourd » À cause de ce cas. « Vous devez savoir que notre mouvement a également subi des dégâts »Elle a ajouté, pointant le doigt « Rôle lourd » joué par les médias dans ces « Souffrages très forts ». Maintenant que Julien Bayou a été mis hors de l’affaire par la justice, son retour aux écologistes est-il possible? « Il ne veut pas revenir »Évacué Marine Tondelier, en allusion aux remarques faites par l’ancien député de Paris lors d’une conférence de presse. Face au mouvement #MeToo qu’il décrit comme « révolutionnaire »Le conseiller régional de Hauts-de-France appelle de ne pas « abandonner ».
« Data-script = » https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js « >