Clash entre Cyril Hanouna et Jean-Michel Aphatie : le chroniqueur de Quotidien « suffoqué » par les attaques sur son « dentier »
Depuis les auditions de Cyril Hanouna et Yann Barthès à la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les fréquences de la TNT et la participation de Quentin Bataillon à TPMP, la guerre est déclarée entre les émissions de C8 et de TMC.
Le torchon brûle entre Cyril Hanouna et Jean-Michel Apathy. En pleine polémique suscitée par l’invitation de Quentin Bataillon – le président de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les fréquences TNT – dans TPMP, le chroniqueur du Quotidien Jean-Michel Aphatie avait lourdement attaqué l’émission de C8.
La réaction indignée d’Aphatie
Une chronique pas du goût de Cyril Hanouna qui a répondu le 4 avril, en s’en prenant personnellement à ce dernier. « C’est le spectacle stupide, les vieux là-basa lancé le trublion du PAF, suscitant les rires sur le plateau. Il ne comprend plus rien, il ne sait plus ce qu’il dit, les mots qui sortent, il ne les contrôle même pas, il ne sait même pas ce qu’il dit, la parole est déjà partie, il remet son dentier . «
Je souhaite enregistrer ici les commentaires faits à mon sujet par @Cyrilhanouna Le 4 avril dans l’émission @TPMPet plus tard approuvé par @PascalPraud : « C’est lui le spectacle stupide, les vieux là-bas. Il ne comprend plus rien, il ne sait plus ce qu’il dit, les mots qui sortent, il ne sait plus… https://t.co/x0KphLcPaB
— Jean-Michel Aphatie (@jmaphatie) 10 avril 2024
Ce mercredi 10 avril, Jean-Michel Aphatie a fait part de son étonnement dans un long tweet. «Cette violence vide de sens, centrée sur le physique et presque sur l’intimité, m’étouffait.» il a écrit. « Nourrir la bêtise et encourager la méchanceté, notamment sur les réseaux sociaux, revient à assumer une étrange responsabilité. »
» Ce comportement, qui déroge à toutes les coutumes de la vie en société, n’est en réalité possible qu’à travers la démission des supérieurs, directeurs, employeurs, patrons de l’individu qui le laissent libre de dire tout et n’importe quoi. conclut-il. En fin de compte, les raisons importent peu. Aucun d’eux ne justifiera jamais de céder à l’insulte et de garder le silence pour ne pas risquer de déplaire à l’homme qui se comporte comme un enfant. »