Le jeune homme, arrêté mercredi près de Grenoble, avait admis être l’auteur de l’attaque, avant de se rétracter. L’explosion avait blessé 15.
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/2025/02/23/000-36xq8lj-1-67bae7c66c51f999889454.jpg)
Une mineure de 17 ans, soupçonnée d’être l’auteur de l’attaque de Grenade qui a fait quinze blessées le 12 février dans un bar Grenoble, a été inculpé, a déclaré le bureau du procureur de Lyon le samedi 22 février. L’adolescent a été placé en détention pré-provenante après son acte d’accusation à, en particulier, « Tentative de meurtre dans un gang organisé » Et la détention des armes, a déclaré l’accusation à l’AFP.
Le jeune homme, jamais condamné, avait été arrêté mercredi près de Grenoble, en possession d’un fusil de chasse. Pendant sa garde à vue, il a lui-même interrogé l’attaque de la grenade, avant de se rétracter, a expliqué le procureur de Lyon, Thierry Dran. Mais « Les enquêteurs ont rassemblé les preuves importantes pour confondre le garde à la police. »
Ce dernier a en outre, « Reconnu comme l’auteur d’une tentative de meurtre quelques semaines plus tôt à Grenoble ».
Le 12 février, vers 20 h 15, un homme à capuche s’était présenté armé d’un fusil d’assaut au Aksehir, un bar dans le quartier populaire du village olympique, au sud de Grenoble. Il avait dégoûté une grenade de fragmentation sans dire un mot et s’est enfui. L’explosion a fait quinze blessées, dont six graves. L’utilisation d’un « Arme de guerre » avait scandalisé le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui était allé sur le site le lendemain, jurant « trouver » le (s) coupable (s).
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