« Trois mois, c’est long pour lui », a déclaré Antoine Gallimard, lors d’une partie de soutien organisée par l’Institut du monde arabe (IMA) et des éditions Gallimard.
Publié
Temps de lecture: 1 min
/2025/02/18/000-36y73wm-67b50dca4ed51378698662.jpg)
Les nouvelles ne sont pas « Pas excellent » Pour l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, incarcéré en Algérie depuis la mi-novembre, a déclaré le mardi 18 février, son éditeur Antoine Gallimard, lors d’une soirée de soutien organisée par l’Arab World Institute (IMA) et Gallimard Edition.
« Les dernières nouvelles n’ont pas été excellentes. Trois mois, c’est long pour lui », « Il a dit. « Surtout quand nous ne savons pas si ces trois mois se transformeront en six mois, en un an … »Il a ajouté. « Il va y aller comme un homme. a déclaré son avocat français, François Zimeray.
« Je ne doute pas qu’il est probablement bien suivi. Je n’ai aucune raison de penser le contraire. Le fait demeure qu’il est un homme âgé et malade, affaibli par cette situation, privé de sa liberté »Ajout de l’avocat.
Boualem Sansal est poursuivi en vertu de l’article 87 BIS du Code pénal, qui sanctionne en Algérie « En tant que terroriste ou acte subversif, tout acte visant la sécurité de l’État, l’intégrité du territoire, la stabilité et le fonctionnement normal des institutions« .
hd1