Edgar Grospiron, champion olympique de ski de bosse en 1992 à Albertville, a parlé pour la première fois en tant que propriétaire des Jeux d’hiver de 2030 mardi en France.
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Sur la piste! Président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver d’hiver de 2030 qui se déroulent dans les Alpes françaises, Edgar Grospirt « Nourrir les grandes ambitions pour ce projet »Dans une interview avec AFP. Officiellement présenté le mardi 18 février dans ses nouvelles fonctions, il explique « passé par tous les États, étonnement, étonnement … »
Vous venez d’être nommé président du comité d’organisation des Jeux olympiques de l’hiver 2030, qu’est-ce que cela signifie pour vous?
Edgar Grospiron: C’est un excellent projet, une chance exceptionnelle, qui n’apparaîtra pas deux fois dans la vie. Je veux toujours dire qu’il y a quinze jours, je n’étais pas du tout dans cette option. Je nourris de grandes ambitions pour ce projet, mais ce ne sont pas des ambitions personnelles.
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N’est-il pas compliqué de prendre le train et d’arriver après le retrait de Martin Fourcade?
La différence avec Martin est que je n’ai pas été investi d’une mission dans la construction. J’ai pris le projet comme je m’étais présenté. Je ne sais pas si c’est une forme de destin. Il y a 50 ans, j’ai rêvé d’être champion olympique (il a 55 ans). Il y a 15 ans, j’ai rêvé de ramener les Jeux olympiques d’hiver en France. J’ai dirigé la candidature d’Annecy (pour les Jeux Olympiques) et cela n’a pas été fait. Jour pour la journée, 33 ans après ma médaille d’or à Albertville, je suis nommé président d’un comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques.
Comment prendre le budget (rester dans une enveloppe de deux milliards d’euros) et l’environnement de ces Jeux Olympiques?
Je le vois comme un défi extraordinaire car les moyens de ce projet sont 30% inférieurs aux moyens conférés à ce type de projet. Le défi climatique est présenté lui-même depuis quelques années dans la montagne française et il apparaîtra toujours pendant plusieurs années après les matchs. Le défi consiste à réussir à s’assurer que les jeux sont une vitrine, un laboratoire, un accélérateur de ces transformations pour les territoires. Les jeux ne doivent pas être invités à résoudre tous les problèmes.
Quelles sont les décisions les plus urgentes à prendre lorsque le projet a été en retard?
Nous remettreons le fichier sur le carré. Cela ne signifie pas que je néglige ou que je critique le travail qui a été fait, parce que Vincent Jay (ancien biathlète qui a participé à l’assemblée de la candidature), que j’ai appelée, travaillé seul et avec peu de moyens. Lorsque vous regardez le fichier, ce n’est pas du nickel. Vous devez serrer les boulons partout. Les décisions des prochaines semaines seront guidées par la finance.
Aurez-vous de la place pour les manœuvres?
Il sera nécessaire de convaincre, mais je ne suis pas ici pour imposer ma vision. Il y a un bureau exécutif qui décide de le faire ou non et comment, puis mon emploi c’est faire. Il y a des choses qui ne devraient pas être laissées traîner. J’ai une bonne relation avec Renaud Muselier (président de la région de la PACA). Avec Laurent Wauquie (ex-président LR de la région, à l’origine de la candidature), nous ne nous connaissons pas bien mais les premiers échanges que nous pourrions avoir, je trouve que nous sommes très alignés. Nous devrons maintenir cet alignement.
Vous êtes resté à la mémoire des Français en tant que champion assez fou, Partycoset et « Rock’n’roll », Serez-vous président du « Rock’n’roll Cojop? »
Ah oui, je le voudrais beaucoup. Mais le rock’n’roll n’est pas rebelle, le rock’n’roll qui s’embarque! Nous avons besoin en France pour trouver un esprit un peu rock, un peu l’esprit de gagner. Les Jeux de Paris, ce n’était pas le fruit du hasard, ce n’était pas un bol, ce n’était pas un éclat. J’ai l’ambition de porter un état d’esprit positif et enthousiaste.
Avez-vous suivi les conseils d’anciens dirigeants comme Tony Estanguet, le patron de Paris-2024?
« Je connais très bien Michel Barnier (chargé volontairement de démarrer le Cojop et l’ancien président des Jeux Olympiques d’Albertville). J’ai eu une heure et demie d’échange avec Tony Estanguet au téléphone. Il m’a donné de bons conseils. Si votre votre La vie en dépendait. « Je me suis dit que j’allais l’afficher dans mon bureau.
Allez-vous arrêter l’activité de votre conférencier?
J’ai des contrats de conférenciers jusqu’à la mi-avril. Je n’ai pas de contrat (parrainage). Et en outre, j’ai immédiatement dit que le non-condition sine qua non à faire, c’est que ma femme est complètement à bord. Nous avons deux enfants de 4 et 7 ans. Je ne suis pas prêt à sacrifier pour ça emploi Ma famille, ma femme et mes enfants.
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