« Il a clairement menti à l’Assemblée nationale, ce qui est un fait sérieux », a également déclaré mercredi le président du comité des finances de l’Insoumis et un adjoint à la soirée de Franceinfo.
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/2024/04/17/coquerel-661fb0e790e1e581277512.jpeg)
« La défense de François Bayrou a évolué » En ce qui concerne les accusations d’agression sexuelle au sein de l’établissement de Betharram, dans les Pyrénées-Atlantiques, estime Eric Coquerel, adjoint LFI de Seine Saint-Denis, invité en Franceinfo Evening mercredi 12 février. « Hier, il a dit qu’il n’avait jamais été informé et aujourd’hui, il a dit qu’il n’avait jamais été informé » à l’époque « , car il était contraint de reconnaître le courrier qu’il a reçu en 2024, qui a été révélé par Mediatart. » Mardi, Mediatart a révélé que le Premier ministre Béarnais François Bayrou avait été informé « Violence commise dans cet établissement catholique dans la région de Pau » Dans les années 1990.
Eric Coquerel ajoute que ce n’est pas « d’une controverse artificielle », Comme l’a dit mardi François Bayrou à l’Assemblée nationale. « Il a clairement menti à l’Assemblée nationale, ce qui est un fait sérieux »estime le président du comité des finances. Le député rebelle évoque un « Affaire pédocrime absolument effrayante » et ajouter ce cas « Jette sa démission en question » Si lui « Il s’avère qu’il ment une deuxième fois ».
La poursuite de la PAU enquête depuis un an dans des faits présumés de violence, d’agression sexuelle et de viol commis au collège de Notre-Dame-de-Bétharram, dans les Pyrénées-atlantiques, entre les années 1970 et 1990.