Capture d’écran
VIDÉO – L’actrice deEmily à Paris était l’invité de « A Sunday in the Countryside » aux côtés de Waly Dia et Nikola Karabatic. L’occasion pour elle de retourner à son expatriation dans la capitale française.
L’actrice, connue du grand public pour ses rôles Dix pour cent Et plus récemment la série réussie Emily à Paris était l’invité de Frédéric Lopez aux côtés de l’humoriste Waly Dia et du sportif Nikola Karabatic. Et si elle joue le rôle de Sylvie Gâteau, une femme d’affaires ultra-parisienne avec un personnage vif, le vrai philippin Leroy-Beaulieu est très éloigné de cette image.
Certes, née à Paris, elle a en fait passé la majorité de son enfance en Italie, son père y était acteur. Parce qu’en plus d’avoir le même prénom que lui – son nom était Philippe Leroy – elle a également hérité de ses talents en tant qu’actrice. « La dernière saison deEmily à Paris Nous lui avons tiré sur Rome, donc il y avait une partie de l’équipe italienne, et en fait les gens qui avaient à peu près mon âge ou un peu plus âgés sur le plateau avaient connu mon père. Et tous, ils m’ont parlé avec respect et tendresse »Elle a dit en essayant de cacher son émotion après la récente mort de son père, le 1er juin 2024.
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C’est lors du divorce de ses parents, quand elle avait dix ans, qu’elle a quitté le pays connu pour elle Dolce Vita Pour Paris. « Et là, je ne trouve pas du tout ma place. Cela m’a continué presque toute ma vie. Cela a récemment été ajusté pour trouver ma place en France. Les Parisiens sont durs, ce genre d’attitude, l’arrogance … »
Ses 10 premières années passées en Italie lui ont donné une maîtrise de la langue mais aussi un moyen de parler avec ses mains. «Quand j’étais à l’école à mon arrivée en France, on m’a dit de mettre mes mains sous mes fesses. Donc je ne pouvais pas parler. Et en plus c’est «La Ritale», «Nous aimons ça en Italie»« , Elle a expliqué en faisant référence aux remarques qui lui ont été faites à l’époque. Et pour continuer: «De plus, j’ai un nom de franchouillard de Franchouillard. Ce n’est pas comme si je n’avais pas de nom français. Et pourtant, j’étais le rituel du service. » Un changement de vie traumatisant pour Philippine Leroy-Beaulieu. Au point de se souvenir de sa première dictée. « Ce fut la pire humiliation. Je passe ma feuille à mon voisin qui corrigera ma dictée tandis que la maîtresse écrite sur le tableau. Il a dû en faire cinq, six défauts. J’en ai fait 60. »