Après le nul contre Strasbourg ce dimanche en clôture de la 18e journée (1-1), Leonardo Balerdi et Pablo Longoria ont déploré plusieurs décisions litigieuses de Bastien Dechepy, notamment un penalty non sifflé sur Jonathan Rowe.
L’OM se sent toujours lésé par l’arbitrage. Cinq jours après un énorme coup de gueule de Medhi Benatia suite à l’élimination en Coupe de France contre Lille, les Marseillais ont une nouvelle fois pesté contre les décisions prises par Bastien Dechepy ce dimanche lors de Marseille-Strasbourg, en clôture de la 18e journée au Vélodrome. (1-1).
Dès le coup de sifflet final, Leonardo Balerdi n’a pas caché sa colère au micro de DAZN. « On a fait beaucoup de choses. Ça commence à être beaucoup, il y a des situations vraiment limites. Avec les arbitres, on essaie de rester calme mais s’il ne siffle pas… C’était un penalty clair (sur Jonathan Rowe). Ils ont commis 1 000 fautes et l’arbitre n’a pas sifflé la main uniquement pour nous, ça marche.
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Longoria crie au « scandale »
Après avoir défendu son directeur du football sur RMC cette semaine, Pablo Longoria a une nouvelle fois pris le micro pour dénoncer un « scandale » arbitral. « Je n’aime pas m’exprimer après les matches pour dire que c’est tout. Jusqu’à quand ? Vous connaissez la répétition. Le penalty de Rowe est un scandale ! Qu’avons-nous besoin de plus ? Jusqu’où allons-nous aller avec l’Olympique de Marseille ?! Pourquoi le VAR n’intervient-il pas ? Vous avez joué au football pendant lequel il ne joue pas le ballon, il met la main derrière le dos, action évidemment, c’est un penalty tout le temps ! », a fustigé le président de l’OM. au micro de DAZN.
« Ça fait trop ! Ça fait trop de matches ! Que cherche-t-on ? Est-ce qu’on cherche à pénaliser ? Si on critique l’arbitrage, ils cherchent à nous pénaliser encore plus… Je ne comprends pas et je J’ai envie de m’exprimer pour dire que ça fait trop de décisions depuis le début de la saison. En première mi-temps je ne suis évidemment pas content, en seconde on a fait beaucoup de changements et on a changé la dynamique du match. un point que nous ne pouvons pas accepter ça et je ne l’accepte pas parce que tous les week-ends, c’est la même chose ! »
Ralenti par Strasbourg, Marseille a certes réussi à égaliser grâce à un penalty de Mason Greenwood, mais le club phocéen a laissé filer Paris, qui compte neuf points d’avance.