Dans les camps de réfugiés, les Palestiniens ont éclaté de joie mercredi soir en apprenant qu’une trêve allait commencer dimanche. Certains, comme Basel Hamed, ont hâte de rentrer chez eux, même si la maison n’est plus que ruines. « Je ne connais pas le niveau de destruction de ma maison, si elle est partielle ou totale. Mais j’y retournerai », confie via WhatsApp ce père de famille, qui a perdu amis et famille dans les attentats. Ses enfants, traumatisés, dorment les mains bouchées aux oreilles.