Gautier Larsonneur, où situez-vous cette montée avec l’ASSE dans votre carrière ?
« Nous ne sommes pas loin du sommet. J’en ai vécu une avec Brest (en 2019, NDLR), mon club formateur. C’était à la maison, avec tous mes proches à la barre. A Sainté, on aurait tous rêvé de vivre ça devant nos supporters à Geoffroy-Guichard. Malgré tout, l’engouement autour de notre retour en Ligue 1 était aussi très fort. »
« J’ai travaillé comme un fou même si cela impliquait de me sacrifier »
On vous a vu en larmes à l’entrée des vestiaires à Metz. Qu’ont-ils traduit ?
« Tout ce que j’ai vécu cette année et surtout les dernières semaines qui ont été très difficiles. J’ai vécu toutes les émotions : une semaine, on était presque en Ligue 1, la semaine suivante pas du tout, puis je me suis blessé (à Guingamp, 2-2, le 4 mai, NDLR) et je ne savais pas si je j’allais pouvoir rejouer… J’ai travaillé comme un fou même si cela impliquait de me sacrifier pour rendre service à l’équipe. Tout cela s’est produit à la fin du barrage…
