Dans un article sur Telegram, l’analyste pro-Kremlin Alexei Chesnakov a résumé le message de Poutine avant son prochain mandat de six ans en trois mots : « Souveraineté. Développement. Unité. »
- Qui était là
En parlant d’éternelle récurrence, la foule de plusieurs milliers de personnes contenait bon nombre des mêmes visages que la dernière fois – Poutine n’étant pas partisan du renouveau politique – ainsi que des personnes liées à la guerre en Ukraine.
L’un des participants notables était le ministre russe de la Défense, Sergei Shoigu, qui, selon les rumeurs, serait tombé en disgrâce auprès du Kremlin après que son adjoint ait été récemment arrêté pour corruption.
Une autre apparition qui a retenu l’attention a été celle de l’homme fort tchétchène Ramzan Kadyrov, visiblement absent. depuis Poutine a prononcé son discours sur l’état de la nation en février et serait en phase terminale.
Plutôt que de dissiper ces rumeurs, Kadyrov a été filmé en train d’être aidé à retirer son manteau, ce qui a amené certains à dire qu’il était soit trop malade, soit trop despotique (peu de surprise) pour le faire lui-même.
La liste des dignitaires étrangers comprendrait des envoyés de plusieurs pays européens – France, Hongrie, Slovaquie, Malte, Chypre et Grèce – faisant allusion à des divisions entre les pays occidentaux sur la manière de traiter avec Poutine, alors que l’opposition russe appelle à le déclarer illégitime.