Il a été très difficile cet été de passer à travers les gouttes de pluie de la « variole du singe », fébrilement présentée comme la nouvelle épidémie justifiant rapidement des mesures expéditives comme celles que nous avons connues pendant la COVID. Nous en avons profité pour interviewer le professeur Martin Zizi, désormais installé aux États-Unis, et expert en santé publique, pour faire le point sur la vaccination à ARN messager, que ce soit contre la COVID ou la variole du singe.
Faut-il vacciner ses enfants avec de l’ARNm pour les protéger contre la variole du singe, comme l’a présenté de manière si horrifiante l’Organisation mondiale de la santé ?
Le professeur et médecin Martin Zizi explique pourquoi il déconseille fortement cette procédure qui pourrait présenter un risque pour la santé de votre enfant (même si la propagande de l’OMS met faussement en avant les risques pour les enfants).
En pratique, en effet, la probabilité qu’un enfant européen soit contaminé par la variole du singe est quasiment inexistante. Les modes de transmission de cette maladie supposent un contact étroit avec une personne infectée. Il faut rappeler que la maladie se soigne, et que les risques d’en mourir sont extrêmement limités.
En revanche, la vaccination contre le monkeypox peut entraîner de graves effets sanitaires, puisque le virus de la variole pourrait, en utilisant le vaccin classique contre la variole humaine (qui est un virus à principe actif atténué), donner lieu à une recombinaison dangereuse pour la santé, et faire revivre une maladie qui avait disparu…
Pour le reste, cette question du monkeypox est l’occasion d’aborder les effets secondaires de l’ARN messager. Peu à peu, des catastrophes apparaissent, après des injections intensives alors que la technologie en question n’est visiblement pas prête.
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