295 km/h, l’incroyable vitesse de Florent Manaudou
Florent Manaudou a avoué qu’il avait voulu tester la voiture de course qu’il avait achetée après son titre olympique….
Douze ans après sa victoire à Londres, Florent Manaudou est de nouveau monté sur le podium du 50 mètres nage libre aux Jeux de Paris, décrochant cette fois le bronze. Un podium qui lui sera plus facile à digérer que son titre remporté en 2012. De son propre aveu, il lui avait fallu un an pour se remettre pleinement dans le bain après sa victoire en Angleterre.
Dès son retour en France, il se permet quelques extravagances. « Je suis fan de Porsche et il y avait un magasin de voitures anciennes près de chez mes parents. Et quand j’étais champion olympique, je crois que le prix était de 50 000 euros. C’est beaucoup d’argent sans gagner beaucoup d’argent. Je suis allé directement dans ce magasin de voitures anciennes et je me suis acheté une Porsche 965 turbo, celle de Bad Boys, avec l’aileron. Je l’ai payée 42 000 euros. Je me suis éclaté. » il a déclaré dans l’émission Legend sur YouTube.
« C’est des conneries »
Et de son propre aveu, Florent Manaudou n’a pas hésité à pousser le moteur, atteignant 295 km/h. « Je n’ai pas été arrêté. Heureusement. »il a avoué. Et ce, ni sur un circuit, ni en Allemagne… « Je ne vais pas mentir. C’est des conneries. J’étais plus jeune et tu ne devrais pas faire ça, il a ajouté. Mais je voulais voir à quoi ressemblait cette voiture.
Si cette infraction pour excès de vitesse est restée impunie, ce ne fut pas le cas d’une autre, certes plus modeste. « Je n’étais pas à 295, sinon j’aurais été en prison. J’ai été arrêté à 134 au lieu de 90. C’est entre 30 et 40 au-dessus et j’ai pris trois mois », a-t-il confié. Mais son plus gros défaut au volant n’est pas la vitesse, mais son téléphone, pour lequel il a déjà été arrêté plusieurs fois. « La chose la plus stupide, c’est le téléphone. J’ai été arrêté six, sept fois, c’est déjà trop. » il a expliqué, non sans reconnaître que sa célébrité lui avait permis, à certaines occasions, de bénéficier de la clémence de la police.