Près d’une trentaine de personnes ont été placées en garde à vue jeudi soir en marge du match de football entre la France et Israël, dont deux pour des violences survenues pendant le match, a indiqué le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) ce vendredi 15 novembre. .
Un match sous haute tension et quelques gardes à vue enregistrées. Au lendemain du match France-Israël au Stade de France, le parquet de Bobigny indiquait que 29 personnes avaient été placées en garde à vue en lien avec le match.
« Nous avons au total 29 gardes à vue, dont les deux pour des faits de violences entre supporters », a détaillé le parquet de Bobigny, précisant que cinq de ces mesures ont été prises « pour des faits de provocation à la haine ou aux violences dans une enceinte sportive ». , tandis que les autres relevaient principalement de la common law.
Une fréquentation historiquement faible
Concernant l’incident dans les tribunes survenu au début du match, « il y a eu une bagarre qui a éclaté, qui a été immédiatement contenue par les stadiers », a expliqué Laurent Nuñez.
Une personne a été immédiatement interpellée, puis une seconde après le match, grâce à des vidéos de surveillance, a poursuivi le préfet de police sans préciser s’il s’agissait de supporters de l’équipe de France ou d’Israël.
Un peu plus de 16 600 spectateurs ont assisté au match, soit la plus faible affluence de l’histoire pour un match de l’équipe de France au Stade de France, une salle de 80 000 places.